La Communication Vivante au service de la transformation des structures.
La communication vivante peut sembler pertinente dans le cadre individuel, elle suscite un espoir profond chez moi de participer à transformer l’organisation de la société pour qu’elle permette à chacun·e de voir ses besoins pris en considération tout en préservant la qualité de la vie sur terre.
Ainsi, j’ai le souhait de rendre la Communication Vivante la plus accessible à toustes
et
J’ai aussi le souhait de la proposer au sein des associations, institutions, entreprises, collectivités, … Pour passer d’un mode hiérarchique qui peut faire vivre de la souffrance à un mode d’organisation plus coopératif.
Programmes
Voici des plaquettes pour décrire les démarches que je propose, elles visent à augmenter la capacité du public à clarifier et à exprimer de façon concrète ses aspirations tout en étant ouvert à écouter l’autre et à ajuster les façons de créer la collaboration dans chaque situation pour passer du l’autre ou moi à l’autre et moi.
Le pont entre les deux : la culture du dialogue, de la responsabilité et de la coopération.
Session #1 de découverte en 6 jours
Session #2 d’approfondissement en 6 jours
1 Contribuer à la paix en soi, autour de soi, dans son quartier et plus largement dans le monde.
2 Soutenir la transformation individuelle et collective vers plus de considération des besoins de chacun·e et créer des « communs » qui soutiennent cette démarche.
3 Se rencontrer dans ses ombres en œuvrant dans un groupe qui cherche à diffuser la CV.
§1- Aspiration
- Contacter son talent, là où il apporte sa graine de paix.
- Participer à prendre soin de soi pour participer à prendre soin des autres et du monde.
- Se transformer soi pour participer à la transformation du monde.
§2- Mais de quelle transformation parle-t-on ?
De l’état actuel vers une plus grande prise en considération des besoins de chacun·e.
Le pont entre les deux : la culture du dialogue, de la responsabilité et de la coopération.
Il s’agit d’un chemin qui consiste à développer notre conscience de l’interdépendance, et à percevoir et à imaginer des moyens nouveaux pour prendre en considération les besoins de chacun·e.
Cette transformation, cette recherche d’équilibre est loin d’être triviale et elle procède d’un réajustement constant.
§3- Evolution
Je fais ici le postulat que notre capacité à percevoir les besoins d’autrui et à les prendre en considération grandit avec notre confiance dans notre capacité à contacter notre soi. En cela que ce lien génère une sécurité qui nous permet de porter notre attention au-delà de nous. |
§4- L’ouverture à la transformation évoquée procède d’un·e :
→ développement de notre conscience de ce qui se vit en nous
→ développement de notre capacité à accueillir ce qui se vit en nous et en l’autre
→ ouverture à faire face aux situations qui nous sont (très) difficiles à regarder
→ élargissement de notre attention à l’impact de ce à quoi on participe en faisant ce que l’on fait ou en ne faisant rien.
→ ouverture aux idées et à la créativité qui enclenchent des graines de paix et qui participent à la raison d’être.
§5- Le plaisir de contribuer
En faisant ce travail, nous pourrons de plus en plus contacter notre plaisir intense de contribuer.
§6- Les 4 sphères de la transformation sociale et écologique
Les graines de paix peuvent se cultiver dans les quatre sphères :
1 – en nous,
2 – dans nos relations proches,
3 – dans notre quartier et
4 – dans le monde.
Chaque sphère a des interconnexions avec les autres sphères.