Sexualité Amour, Cycle sur les Relation Émancipatrices
L’amour authentique devrait être fondé sur la reconnaissance réciproque de deux libertés ; chacun des amants s’éprouverait alors comme soi-même et comme l’autre ; aucun n’abdiquerait sa transcendance, aucun ne se mutilerait ; tous deux dévoileraient ensemble dans le monde des valeurs et des fins. Pour l’un et l’autre l’amour serait révélation de soi-même par le don de soi et enrichissement de l’univers. (Simone de Beauvoir)
Intention
Ouvrir un espace sécurisé d’expérimentation. Qui respecte le rythme et les sensibilités de chacun.e.
Déconstruire ce qui dans nos comportements est le fruit de nos conditionnements, hérités de nos lignées, de l’imprégnation sociétale ou encore la culture populaire liée aux stéréotypes de genres. Ces conditionnements ont des conséquences sur nous, nos proches et les gens autour.
Les déconstruire c’est créer de l’espace, gagner en liberté pour agir et tisser des relations depuis une souveraineté renouvelée. Nourrir ses besoins différemment, en étant plus près de soi pour pouvoir être plus près de l’autre.
Une majeure partie des pratiques se font en mixité choisie* (c’est à dire sans hommes cisgenre** d’un côté et sans femmes cisgenre de l’autre).
Ce cycle se déroule en 8 soirées de trois heures et la prochaine édition aura sans doute lien au printemps 2023 :
Stay Tuned !
Le capitalisme émotionnel le marché du cœur (Eva Illouz)
Les yeux fermés, Tu comptes tes matchs sur tinder (324 ?), tu penses à tous les kilos que tu as réussi à perdre
Tu fais la liste de tes ami·e·s, tu les classes. La liste de toutes les personnes avec qui tu as couché dans ta vie. Tu ajoutes le nombre de compliments qu’on t’a faits cette semaine.
Tu prends ce chiffre et tu le multiplies par le nombre de followers que tu as sur insta auquel tu ajoutes les likes et le nombre de fêtes auxquelles tu as été invité·e cette année. Que tu divises par le nombre de SMS en attente de réponse sur ton smart phone. Tu multiplies le tout par ton salaire annuel en brut. Et si tu es une femme, tu divises ce chiffre par le nombre d’années d’études supérieures que tu as faites plus t’es diplômée, moins ta valeur est élevée, Si tu es un homme tu ajoutes ta taille en Cm et seulement si ce chiffre est supérieur à 180, en dessous, tu divises. Tu mets en facteur ton âge, à partir de 22 ans si tu es une femme, tu sais que ta valeur diminue mais elle ne change pas si tu es un homme. Tu ajoutes à ce total le nombre de livres de développement personnel que tu as lu dans ta vie pour apprendre à croire en toi, exiger le meilleur, devenir toi même, cesser d’être gentil pour être vrai, comment se faire des amis, séduire à tous les coups développer ton potentiel, faire fructifier tes talents… que tu multiplies par la somme totale que t’ont coûté toutes tes séances de thérapie et de coaching et tu obtiens ton
score de DÉSIRABILITÉ → le résultat de ton classement sur le marché. Et le taux de probabilité de vivre une vraie, belle, grande histoire amoureuse.
Si tu le mérites, si ça existe encore…
Actuellement un cycle autogéré se lance pour explorer ces questions que je trouve cruciales.
*Outil et stratégie politique d’ouvrir un espace à des personnes partageant une expérience commune d’oppression, ici le sexisme. Cela permet notamment une libération de la parole et une organisation par et pour les personnes opprimées.
**Cisgenre: En occident, le genre est représenté de façon binaire et sur des critères biologiques, à savoir un.e nouveau né.e avec un pénis est dit.e garçon et un.e nouveau né.e avec vulve et utérus est dit.e fille. Le mot cisgenre définit les personnes qui sont en accord avec le genre qui leur a été assigné à la naissance.
Bonjour, je voulais ici dire quelques mots sur la naissance douce d’un collectif local, saint jeannet en transition, qui souhaite s’engager dans une transformation sociale vers plus de sobriété énergétique, vers plus de respect du vivant et vers un équilibre soutenable.
Je me passionne ici pour la subtilité que je perçois dans le déploiement de cette organisme vivant. J’avais envie de partager mes tergiversations en espérant qu’elles susciteraient des retours qui me permettraient d’avancer.
J’observe que l’éventail des profils des personnes qui ont envie de participer à ce genre d’aventures est assez large. On y trouve des personnes déjà très engagées qui ont souvent des connaissances pointues, des expériences variées de plusieurs années et qui consacrent déjà une bonne partie de leur temps à agir dans le sens dont on parle. On y trouve aussi des personnes curieuses, qui ont naturellement une forte sympathie pour l’écologie, qui n’aiment pas voir des cormorans avec des sacs en plastiques dans le bec et qui essaient de trier leurs déchets mais qui n’ont pour l’instant pas encore exploré plus loin leurs démarches. Je ne voudrais pas schématiser et mon propos n’est pas ici de ranger les gens dans des cases. Il y a beaucoup de nuances et je n’ai pas la prétention de dresser une sociologie exhaustive (Pour cette question, Loic Steffan parle ici des personnes qui adhèrent à sa page Facebook, la collapso heureuse). Ce que j’essaie simplement d’amener c’est le constat d’une grande diversité.
Au sein du collectif que l’on a monté, on a clarifié qu’on souhaitait s’inscrire dans un mouvement d’accueil de là où en est chacun-e. Générer de la coopération, de la créativité, mutualiser et faire confiance dans la puissance du collectif.
Il me semble qu’un élan qui nous porte est celui de l’ouverture, autrement dit, éviter de se retrouver dans un entre-soi de gens très compétents (cons-pétants?) et très… seul(s)… ou du moins peu nombreux…
Un ami, ancien chef d’entreprise, me partageait qu’il était difficile pour lui de choisir le train plutôt que l’avion ou de choisir de diminuer sa consommation de viande. Il m’expliquait que dans sa vie, lorsqu’il faisait quelque chose de «bien» il recevait une reconnaissance ou une appréciation. Alors qu’il n’en reçoit pas lorsqu’il choisit de mettre en place un geste ou une habitude qui vise à diminuer son empreinte carbone.
S’est alors posée la question de la motivation. Dans quel objectif fait on un tel geste. Je vous propose à cet endroit d’écouter l’émission grand bien vous fasse d’Ali Rebeihi avec Sebastien Bohler, qui parle des différents mécanismes de récompenses hormonales qui sont à l’œuvre dans notre système neurologique.
Ce qui m’est venu c’est la puissance du collectif, l’entrain que procure l’appartenance à une communauté. Côtoyer des personnes qui placent assez haut dans leurs priorités l’intention de créer des nouvelles façons de vivre plus en lien avec leurs convictions écologiques donne de l’énergie pour le faire à notre tour. Lorsqu’une personne partage par exemple qu’elle a fabriqué sa lessive avec du lierre, qu’elle a transféré ses comptes dans une banque éthique, qu’elle est passée à un fournisseur d’électricité 100% renouvelables, qu’elle a découvert une recette exquise avec une alternative aux protéines animales… Ca ouvre une porte vers une expérimentation qui n’est pas engageante et qui permet de faire des petits pas. Si j’ai bien compris, le cerveau délivre alors une dose d’hormones de plaisir en lien avec la mise en cohérence de nos pensées et de nos actes, avec la joie d’entrer en résonance avec un collectif qui porte des valeurs qui nous sont chères, avec l’intense plaisir de contribuer au déploiement de la vie, à la co-création du monde dans lequel on rêve de vivre et à la satisfaction de prendre en compte l’interdépendance…
Et en même temps…
Certain-e-s d’entre nous peuvent trouver que ce faisant, on saupoudre, on se concentre sur les trois grains de sel sans s’occuper du steak (Merci Yann pour la métaphore). Bref, on ne va pas assez vite…
Parce que selon certaines études, il y a une urgence. Sans citer une liste exhaustive, qui s’allonge de jour en jour, de personnes d’origines professionnelles multiples, qui accumulent les rapports, les ouvrages, les études, j’ai envie de rappeler que l’ONU, suite au dernier rapport du GIEC (Groupement intergouvernemental des experts pour l’évolution du climat) a dit que nous avions deux ans pour enclencher une démarche qui tend à diviser par 6 notre consommation d’énergie d’ici 2030, sans quoi un mécanisme d’emballement allait se mettre en œuvre et nous amener à dépasser les +2°C en 2050. Ces +2°C sur la surface totale du globe pourraient devenir des +5° sur les continents et réduire drastiquement les rendements agricoles. On parle alors d’un risque prononcé de voir la moitié de l’humanité disparaître.
Oui… Rien que ça…
Alors oui, depuis ces constats là, il y a urgence. Et je me relie bien aux personnes qui souhaitent aller vite! Je vous partage en dessous un mot relayé par Jean-Marc Jancovici sur un article de CNN qui relate le dernier rapport d’un membre d’un think tank australien et d’un ancien cadre dans les énergies fossiles.
Alors? Est-il nécessaire d’accélérer? Ou bien urgent de ralentir?
Résultat, je perçois quelque chose qui ressemble à un mélange sucré salé, une alliance, foie de volaille / crème chantilly végane, une polarité indigeste et un contraste délicieux qui me donne l’impression d’essayer d’accueillir la diversité que nous sommes, le moi d’aujourd’hui et le moi de demain (qui trouvera sans doute que je n’en faisais pas assez), sans oublier le moi d’hier.
Je vous soumets donc cette attention que j’ai envie de porter à la fois sur l’accueil bienveillant et constructif de là où nous en sommes, chacun, chacune et la conscience d’un caractère d’urgence qui donne envie d’agir plus vite, plus en profondeur. Avec ce que je trouve être un écueil structurel : l’envie de convaincre.
Peut-être certain-e-s trouveront que je joue sur les mots. La différence entre ce que j’appelle convaincre et ce que j’appelle informer se situe dans l’attente que j’ai ou pas que l’autre adhère et change ou pas. Si c’est pas clair, je veux bien prendre plus de temps pour détailler. Ca parle d’interdépendance et de respect de la liberté d’autrui à disposer de soi.
Ce que je ressens en écrivant ça, c’est que je n’ai pas envie de vivre quelque chose de contraignant, de faire fonctionner des mécanismes de peur et de menace, je n’ai pas envie de voir les gens prendre acte, transformer leurs habitudes parce qu’ils craignent quelque chose ou parce qu’ils se sentent coupables. J’ai envie d’œuvrer pour que la transformation se fasse depuis un espace de conviction, de respect du rythme de chacun, de joie et de liberté.
C’est comment pour vous?
PS: au passage, on s’est lancé dans la lessive au lierre et on en a 6L, on en donne à qui veut!! 😉
Nafeez Ahmed : Un nouveau rapport indique qu’il est « hautement probable que la civilisation humaine s’effondre » en 2050 Le seul moyen d’éviter ce scénario serait « une mobilisation d’urgence comparable à la Deuxième Guerre mondiale ». « Une sombre analyse présente comme plausible l’effondrement de la civilisation humaine dans les prochaines décennies à cause des changements climatiques. Ce rapport est rédigé par David Spratt, le directeur de Breakthrough National Centre for Climate Restoration, un think tank de Melbourne, en Australie, et Ian Dunlop, qui a été cadre de Royal Dutch Shell et auparavant président de l’Australian Coal Association. Un ancien chef de la Défense nationale et commandant de la Marine royale de l’Australie en signe l’avant-propos. » Voir également cet article de CNN : https://edition.cnn.com/…/climate-change-existen…/index.html
Arrhes : 100€ à l’ordre de Christophe Vincent à envoyer à Roue Libre 35 rue nationale, 06640 Saint-Jeannet.
La contrepartie financière demandée pour participer au stage est de 350 € (arrhes comprises).
Pour la logistique, contactez Michel au zéroNeuf 83474287 ou zérosix 63058031 ou bien par mail : rouelibre06@gmail.com.
Voici les informations pratiques plus détaillées :
Dates
Du vendredi 5 au dimanche 7 juillet 2019, de 9h30 à 18h30 Adresse
St Jeannet (06640) – Salle communale de la Chapelle Saint Jean Baptiste Repas et hébergement
Pour les midis, Michel qui organise sur place, nous préparera les repas bio et végétaliens.
Par expérience, le coût de chaque repas est d’environ 6€.
Pour toutes les informations concernant les repas et l’hébergement possible, merci de contacter directement Michel au zéro six 63 05 80 31. Informations et inscriptions
Pour la pédagogie transmise durant ce stage, je serai joyeux de recevoir 350€ par participant. Pour confirmer votre inscription :
o Remplissez le formulaire d’inscription en cliquant ici
o Envoyez un chèque de 100€ à l’ordre de Christophe Vincent, à l’adresse suivante :
Michel Hirschowitz – 35, rue nationale – 06640 St Jeannet
En cas de désistement avant le 22 juin, ces arrhes seront remboursées en totalité. Passée cette date, les arrhes seront conservées.
Le solde (250€) sera à régler le premier jour du stage.
Pour toute information, vous pouvez entrer en lien avec Christophe Vincent:
o Par e-mail : christophevincent.pro@posteo.net
o Par téléphone portable : 06 17 17 31 17
Plus précisément, description du stage et du formateur :
La Communication NonViolente ® (CNV), développée par Marshall Rosenberg, nous permet d’incarner nos intentions de paix et d’amour au quotidien, à travers une évolution de notre manière d’observer, de percevoir et de nous exprimer. Ainsi nous créons un dialogue sincère et respectueux, évitant malentendu et sous-entendu.
Véritable art d’être en relation, la CNV contribue à la prévention de la violence et à la gestion des conflits.
Grâce à des repères précis et simples, cette approche est accessible à tou.te.s et porteuse de solutions durables.
La connexion à nos émotions et besoins fondamentaux, que propose la CNV, est un précieux soutien pour garder notre cœur ouvert le plus souvent possible et pour accueillir soi-même et les autres avec
tendresse. Elle nous aide aussi à poser nos limites quand cela est nécessaire.
La Biodanza, créée par Rolando Toro Araneda est la « Danse de la Vie ». Elle nous permet de développer nos richesses personnelles en nous connectant profondément à nos besoins, de réveiller nos instincts endormis par la civilisation actuelle et de retrouver le plaisir de Vivre ; l’objectif étant de retrouver une connexion sur 3 niveaux : à nous même, aux autres, et plus largement à notre environnement et l’univers.
La session de Biodanza est un espace protégé où chacun.e est invité.e à être bienveillant.e, dans l’accueil et le non-jugement et à expérimenter d’être vraiment soi, aussi bien dans ses envies et ses besoins que dans ses limites du moment.
Ce stage de CNV, dans lequel j’animerai plusieurs sessions de danses sur les thèmes du stage, est donc une invitation à vivre une transformation de votre manière d’être en relation avec vous-même et avec les
autres. Vous allez apprendre comment construire des relations de coopération, de croissance et de soutien mutuel, dans lesquelles le dialogue est une clé pour créer des liens profonds.
Aussi, vous découvrirez que c’est beaucoup plus facile que ce que vous imaginez peut-être.
À qui s’adresse ce stage ?
Personnes intéressées à : améliorer leurs relations, identifier et exprimer davantage ce qu’elles vivent, exprimer plus facilement des désaccords et inconforts.
Professionnels qui utilisent le dialogue au quotidien : éducateurs, psychologues, psychopédagogue, art-thérapeutes, assistantes sociales, avocats, administrateurs.
L’esprit du stage
Dans notre groupe, voici ce que je souhaite nous permettre de vivre :
o la connexion et la complicité, le rire et la légèreté
o un cadre qui favorise l’expression authentique et vulnérable de chaque être
o l’acceptation de nous-mêmes tels que nous sommes
o une expérience où chacun.e peut sentir son appartenance au groupe : « j’appartiens juste parce que je suis ici », au-delà de toute caractéristique ou réalisation personnelle
o l’acceptation de « l’erreur » peu importe si je suis dans le « correct », si j’y arrive ou non, c’est le plaisir d’expérimenter (et de vivre) qui est le plus important Contenu pédagogique
Lors de ces 3 journées, nous explorerons ensemble :
• Prendre conscience de l’impact de la culpabilité et de la honte sur notre vie dans tous ses aspects
• Discerner les situations dans lesquelles elles opèrent particulièrement
• Apprendre à différencier le stimulus de la cause de ces 2 états
• Apprendre à accueillir les 2 parties de soi en conflit : celle qui a agi, en fonction du contexte du momentet celle qui juge à postériori que cette manière d’agir n’était pas adéquate
• Transformation de la culpabilité/honte tétanisante en énergie vitalisante
Ce qui fait le plus sens pour moi aujourd’hui est de rester au plus près de ce que les participants viennent chercher dans le stage, ces thèmes peuvent donc varier et les propositions concrètes seront adaptées aux attentes et à la réalité des participants.
Pour cela, je faciliterai : des exercices ludiques, des moments de connexion profonde, des temps théoriques, des pratiques corporelles et des temps de questions-réponses.
NB : pour toutes les activités, tout le monde est bienvenu Vous pouvez participer sans aucune expérience, entraînement, âge ou état de santé particulier. Témoignages vidéo
Pour assister aux partages d’expériences des participants des stages précédents, cliquez ici A propos du facilitateur : Christophe Vincent
Amoureux de l’immense intelligence du corps, de l’être, et de l’exploration de notre potentiel, j’adore apprendre et transmettre en jouant, en particulier dans le corps et le mouvement.
Quinze ans d’arts martiaux m’ont enseigné que le plus important, avant la technique, est la connexion avec le partenaire. Certifié en Communication NonViolente (CNV), je la transmets avec la même intention.
Pour partager ma compréhension de la CNV au plus grand nombre, j’ai créé une série de vidéos en accès libre sur YouTube, le « Voyage au cœur de la CNV en 80 jours » :
Je focalise des rondes de Danses Circulaires Sacrées, « Danses en Rond » ou « Danses du Peuple », qui sont les danses de différentes cultures. Le terme “sacré”, est utilisé en lien avec les intentions de ces danses : faire grandir le respect, la douceur et l’amour pour soi et pour l’autre, tout en goûtant au plaisir de danser (et donc de vivre !) car il n’y a rien à «réussir».
Je pratique et transmets aussi la Biodanza, un système de danse qui développe les potentiels de chaque être humain pour enrichir la vie et le monde, notamment par la réhabilitation des instincts et du plaisir de vivre.
Dans la danse, du corps ou du dialogue, chacun.e peut ressentir ses besoins et en prendre soin avec douceur et joie. C’est aussi l’occasion d’expérimenter la reliance à soi d’où découle naturellement la
reliance aux autres et à l’Univers.
Le chemin pour vivre ces liens en mouvement est simple :
Entrez dans la ronde et goûtez cette saveur !
Mon site – L’Art de Vivre Heureux : https://www.christophevincent.com/
Communication NonViolente – Biodanza – Danses Circulaires Sacrées
Association Française des Formatrices et Formateurs CNV : http://www.cnvformations.fr
Pour suivre le "Voyage au cœur de la CNV en 80 jours" :
Expérience professionnelle
Pendant 12 ans, j’ai travaillé pour aider les élèves et les équipes à surmonter leurs difficultés scolaires et sociales, dans des écoles et centres de vacances de quartiers à hauts niveaux de violence (sociale, éducative, physique, psychologique).
Certifié par le Center for NonViolent Communication ® (CNVC : site web), j’ai partagé la Communication NonViolente depuis 2012 dans divers pays d’Europe et au Brésil :
o Dans les écoles et associations : avec pour thèmes la communication et la résolution de conflits.
o Dans les camps de vacances CNV avec des adultes et des jeunes de 6-15 ans.
o Avec les personnes en quête de développement personnel et de croissance spirituelle, avec une emphase sur l’identification et la transformation de la violence intérieure inconsciente, pour retrouver son pouvoir de créer paix et harmonie en soi-même et dans les relations.
En 2014, lors de la Journée de l’Innovation, organisée par Expérithèque (Bibliothèques des Expérimentations Pédagogiques du Ministère de l’Éducation Nationale), le projet « La médiation par les pairs par la Communication NonViolente ou la gestion enrichissante des conflits » a été récompensé par le Prix du Public. Je l’ai développé avec ma collègue Lilian Cobo au Collège Victor Hugo de Sarcelles (Académie de Versailles),
Aujourd’hui, je concentre mon activité en France où je me régale de proposer des activités de développement personnel pour aider à l’émergence d’un monde où les personnes se connectent à leur richesse intérieure, réalisent leurs rêves et potentiels, et vivent des relations authentiques et joyeuses.
J’anime notamment des stages incluant toutes ces pratiques que j’adore !
Ce samedi, Saint-Jeannet en transition en partenariat avec les ruchers des baous et Bio dans nos vies propose un ciné débat sur la transition avec le film de Marie Monique Robin : Qu’est-ce-qu’on attend ?
Rob Hopkins, qui était au centre universitaire méditerranéen à Nice le 15 avril dernier, exhorte les sensibilités écologiques à imaginer un autre monde, un monde qui retrouverait le goût de choses simples et le rythme apaisé de ceux qui ont le temps. Le temps de prendre soin de la terre et de l’humain, le temps de se connecter à la vie, de méditer, de faire la fête, de construire du lien.
Ce même Rob Hopkins était professeur à l’université de Kinsale en 2005 en Ireland lorsqu’il imagine le mouvement des territoires en transition. En 2006, la première mise en œuvre se déroule à Totnes en Angleterre et compte aujourd’hui près de 500 villes dans le monde (dont Vence! et bientôt Saint-Jeannet).
A Ungersheim, en Alsace, le maire Jean-Claude Mensch, ancien mineur, contribue à développer depuis près de vingt ans des stratégies pour réinventer la vie de ce village de 2200 habitants. 21 actions ont été mises en place selon trois pôles : Autonomie intellectuelle, énergétique et alimentaire.
Intellectuelle :
Démocratie participative.
Inscription dans une démarche de commerce équitable
Citoyens du monde (lutte contre la faim et pour la paix)
Sortir du nucléaire
Dynamiser l’économie locale (monnaie locale)
Soutien et actif de la biodiversité locale
Restauration des sols : réhabilitation d’une friche industrielle
Energétique :
Mise en place d’une chaufferie bois 0,5MW
Economie d’énergie (-40% sur l’éclairage public)
Diagnostique énergétique des bâtiments
Centrale photovoltaïque
Chauffage solaire thermique
Zéro pesticide
Eco-hameau : Habitat bioclimatique en construction bois/paille
Amélioration de l’emprunte des produits ménagers
Amélioration de l’empreinte carbone des transports
Alimentaire :
Restauration scolaire 100% bio
Mise en place d’une régie agricole de la graine à l’assiette avec production et conditionnement
Exploitation maraîchère bio avec chantier d’insertion
Mise en place d’une cuisine collective bio 500 repas jour.
Edification d’une ferme bio, production, conditionnement, formation.
Samedi soir à 19h rendez-vous à la salle Saint-Jean Baptiste. Si vous voulez être sûr-e d’avoir votre place, contactez-moi.
A la suite de la projection, nous partagerons un repas et pourrons débattre sur ce que le film aura ouvert comme questions.
Le groupe de pratique de CNV de l’association Roue Libre a démarré en août 2017 à Saint Jeannet. Le groupe hebdomadaire et devenu 2 puis 3 tant le nombre de personnes souhaitant y participer grandissait.
Je témoigne ici de notre expérience «open source» à toute fin utile.
Je suis de mon côté très intéressé à créer des connexions au sein de la communauté locale. J’aime l’enrichissement et le soutien que ça me procure.
Nous avons démarré en aout 2017, quelques uns d’entre nous avions les 3 premiers modules. Nous avons accueilli des personnes qui n’étaient pas formés et qui avaient le souhait de découvrir la CNV. Quelques mois plus tard, nous avons découvert que les instances de la CNV préconisaient de n’accueillir que des personnes ayant déjà les 3 modules de base dans un groupe «auto-géré» (c’est à dire qui n’est pas animé par une personne certifiée ou sur le chemin de la certification). https://cnvfrance.fr/actualites/groupes-de-pratique/un-groupe-de-pratique-en-communication-non-violente/
Nous avons donc amendé notre charte avec son article 4 : notre groupe de pratique ne se substitue pas à une formation, ce qui y sera dit n’est que le reflet de ce que l’on comprend de la CNV à l’instant où ça se produit. Ca ne sera pas aussi précis que ce que pourrait dire un-e formateur/trice certifié-e. (si ça vous intéresse, je peux vous livrer les autres points de notre charte, je ne le fais pas parce que je crois que la création de la charte peut constituer un exercice constituant pour un groupe, je vous laisse donc ce choix).
Nous avions déjà créé une charte qui visait à concourir à un climat de confiance qui permette à chacun-e de se sentir en sécurité pour traverser la soirée et se sentir libre d’aller visiter des endroits de soi qui peuvent être déstabilisants.
Nos groupes de pratique se déroulent de la façon suivante : temps de centrage, tour de parole (météo du jour) relativement rapide pour qu’on conserve du temps de pratique. Une structure est proposée, son objet est de soutenir la pratique de la CNV :
1 – dire comment on se sent (le temps de centrage vise à écouter les sensations corporelles notamment)
2 – exprimer ce qu’on a envie de vivre dans la soirée qui démarre
3 – partager une anecdote récente en lien avec la CNV (expérience agréable ou pas…)
Lors du tour de météo certaines choses émergent et nous choisissons de travailler sur les thèmes qui y sont apparus. Par sous groupe de deux, trois, quatre, cinq, tous ensemble… Ca dépend des activités.
Après chaque activité on s’offre un temps de feed-back. En fin de GP on fait un tour de clôture (comment on se sent, qu’est ce qu’on garde de la soirée? Qu’est-ce-qu’on a envie de partager?).
Pendant les 3 premiers mois, nous n’avions que peu d’expérience et nous avons fait le choix de tourner sur 4 ou 5 jeux/activités que l’on faisait chaque semaine. Ces jeux permettaient entre autre chose de travailler l’écoute et d’intégrer le vocabulaire des sentiments et des besoins qui nous a fait gagner en nuances dans notre capacité à exprimer ce qui est vivant en nous.
En voilà trois :
ECOUTE SILENCIEUSE : 4 minutes chacun en position «amoureux» (assis en sens opposés, épaule contre épaule).
Mime des sentiments (on tire un sentiment au hasard, on essaie de le faire deviner en le mimant aux autres)
Anti mime des besoins : on tire un besoin au hasard, tout le monde le voit sauf nous, les autres essayent de nous le faire deviner en pop-corn en nous donnant : une situation dans laquelle une personne vivait un sentiment S parce que le besoin… était ou n’était pas nourri.
S’il apparaît une grande hétérogénéité au sein d’un groupe, nous pouvons choisir de créer deux sous-groupes. L’un peut aller travailler une situation particulière dans une autre pièce pendant qu’un groupe avec plus de personnes nouvelles / non formées pratiquent des exercices qui permettent de découvrir/ancrer les notions structurelles de la CNV.
Notre expérience nous a amenés à prendre conscience que certaines personnes pouvaient partir d’un GP avec beaucoup d’énergie pour «se servir de la CNV dans la vraie vie» nous avons peu à peu développé des moyens de transmettre les écueils à ce genre de démarches.
Nous organisons des formations à Saint-Jeannet. Depuis octobre, il y a eu 3 modules de base, un module sur la gratitude (avec de la danse), un module sur la responsabilité, un sur l’énergie des besoins et deux sur auto-empathie et empathie. Les formations sont à un tarif plus ou moins identique : environ 110 par jour de formation.
Nous avons commencé à créer un réseau départemental, la fédération des groupes de pratique du 06. L’idée est de mutualiser les ressources et de créer une offre cohérente et claire sur le département. https://rouelibre06.wordpress.com/2018/11/26/carte-collaborative/
Souhaitez-vous inscrire votre groupe sur la carte? On peut spécifier les caractéristiques du groupe, s’il est possible d’y participer ou non…
On fait aussi une réunion toutes les 6 semaines environ. Si vous avez envie d’y être conviés, il suffit de me donner un mail.
Voilà, je serai ravi de répondre s’il y a des interrogations ou d’apporter des précisions si ça peut intéresser. Ca permettra de faire évoluer cet article pour qu’il puisse servir le mieux !
Vendredi 22 à dimanche 24 février 2019 – St Jeannet (06)
La Puissance de la Gratitude et des Appréciations
Il ne reste plus que deux places 🙂
Informations et inscriptions
Pour la pédagogie transmise durant ce stage, je serai joyeux de recevoir 300€ par participant.
Pour confirmer votre inscription :
Remplissez le formulaire d’inscriptionen cliquantici
Envoyez un chèque de 100€ à l’ordre de Christophe Vincent, à l’adresse suivante :
Michel Hirschowitz – 35, rue nationale – 06640 St Jeannet
La Communication NonViolente ® (CNV), développée par Marshall Rosenberg, nous permet d’incarner nos intentions de paix et d’amour au quotidien, à travers une évolution de notre manière d’observer, de percevoir et de nous exprimer. Ainsi nous créons un dialogue sincère et respectueux, évitant malentendu et sous-entendu.
Un cercle d’hommes a vu le jour au sein de l’association Roue Libre depuis le mois d’octobre. Cet espace est dévolu à une connexion et un soutien masculin. Un espace où l’on essaie d’accueillir le vivant autrement qu’avec des jugements et des conseils.
L’aventure démarre et nous en reparlerons quand elle aura plus de recul.
Après deux tentatives riches et intenses, les confinements nous ont amené à revenir penser notre démarche.
Un premier cercle d’hommes nous a permis de nous accueillir dans un espace de fraternité (et j’ai envie de dire aussi de sororité). Un deuxième cercle d’hommes nous a amenés à nous centrer plus précisément sur nos rapports de domination, en particulier dans nos relations avec les femmes et avec les enfants. Questionner nos archétypes, se soutenir pour déceler à quels endroits nous sommes vecteurs et empreints de réflexes patriarcaux. Nous avons ainsi tenté de les transformer au gré de nos rencontres. Le groupe s’est disséminé avec le deuxième confinement et aujourd’hui il est en dormance avant de retrouver sa voie,
Ces aventures de cercles d’hommes ont donné naissance à des stages sur les relations amoureuses dans lesquels le travail est soutenu par le cadre et l’inspiration de la communication vivante.
On y parle de patriarcat, de sexualité, de parentalité, d’héritage familial, d’exclusivité, de consentement, de répartition de la responsabilité dans la cellule amoureuse en mettant notre focale sur les sentiments et les besoins.
Formations et autres aventures proposées – été automne 2021
Après cette période de confinements, voici de nouveau une fenêtre (?) dans laquelle nous proposons des aventures : Formations initiales, modules d’intégration, cycle de compagnonnage. La Communication Vivante se découvre au long d’un stage de 6 jours, proposé ici sur trois week-ends entre décembre 2021 et janvier 2022. Les dates arrivent rapidement =) Lors de…
La Communication Vivante qu’est ce que c’est ?
Découvrez la communication vivante, une autre façon de relationner, avec nous même et avec le reste du monde.
Que fait donc Roue Libre ?
Début 2019, voici un petit bilan pour y voir clair sur l’action de Roue Libre en 2018.
Autogéré relations amoureuses
[ Nouveau format ] Groupe de travail sur les rôles sociaux Nota : Dans cet article, on pourra employer la terminologie hommes / femmes pour désigner les personnes se considérant comme tel·le·s. Préambule, pourquoi je propose ce cycle ? Bonjour à vous, ce cycle est un drôle de tour de manège pour moi. J’ai…
Le mois de décembre provoque dans mon cœur un élan de partage et de joie. Il m’évoque des images de dessins enneigés avec des enfants bien emmitouflés qui jouent le sourire aux lèvres, à côté d’une poêlée de châtaignes qui dansent sur le feu avec des mésanges qui picorent les besognes de saison.
Des besoins.
Je vois qu’il y a quelque chose en moi qui aspire à vivre la communion et à célébrer la fin d’année et la nature qui à cet instant nourri mes besoins de beauté et de expérimenter l’intensité de la vie.
Je vois aussi la fonte du permafrost qu’on appelle aussi pergélisol comme de nouveaux dangers qui peuvent accélérer considérablement le dérèglement climatique pierre angulaire de l’effondrement.
Des images
Mais là, juste pour quelques minutes, je dépose le permafrost et
les morts de la rue pour revenir aux tableaux de mon enfance et aux images qui me procurent de la joie.
Et puis, voilà, j’ai les images du black friday qui arrivent…
Les catalogues carrefour et les sucreries à outrance, voila autre chose que je n’ai pas envie de vivre.
Des pensées
Je vois comment je pourrais maugréer et pester et trouver que c’était mieux avant et que c’est la faute au monde entier.
Un rêve!
Là tout de suite ce qui vient c’est que je suis en colère parce que ce que j’aime vivre dans ce monde c’est l’harmonie, la paix et l’équité. Oui! Mon rêve c’est que tout le monde puisse jouir intensément du bonheur d’une soirée au coin du feu et de jeux de société avec ses grand-parents, d’une bataille de boules de neige avec ses cousins, d’un spectacle traditionnel, d’ateliers de création artistique pour préparer des décorations, que tout le monde puisse ressentir ce doux parfum d’appartenance et de célébration. Cette joie profonde et pleine. Cet amour.
Une envie en zoomant un peu?
Et là tout de suite, ce qui se vit en moi c’est que j’ai envie de co-créer le monde dans lequel j’aimerais vivre.
Et là, tout de suite, ce qui me fait envie, c’est de vivre ce mois de décembre de façon festive et pas seulement en offrant des cadeaux à mes enfants.
Par exemple, j’aimerais déambuler avec une bande de saltimbanques (vous par exemple?) dans les rues du village, en toquant aux portes, non pas pour leur amener une lettre des impôts ou pour leur dire qu’ils ont mal garé leur voiture, simplement pour leur offrir… un bol de soupe? Une poignée de marrons chauds? Un sachet de biscuits qu’on aurait préparés tous ensemble? Un tour de magie? Une acrobatie? Une petite chanson? Une blague? Ou un peu tout ce qu’on pourrait faire dans cette idée de partage et de lien.
J’aimerais qu’on ouvre les portes des gens pour leur offrir un sourire.
Un tout petit pas?
Et le tout petit pas que j’ai envie de faire dans ce sens, celui qui me vient là, je vous le partage parce que ça me plairait de savoir comment il danse dans votre cœur.
Le voilà : Ce que je peux faire dans ce sens c’est proposer aux habitants de la maison dans laquelle je dors de venir avec moi et aussi amener ma guitare. Voilà ici quelques chansons que je sais presque jouer si vous connaissez des gens qui auraient comme moi le cœur plein d’étoiles à l’idée d’aller offrir un brin de notre joie aux portes qui s’ouvriraient sur le chemin d’une déambulation le week-end prochain par exemple, faites moi signe!
Que vous en connaissiez ou pas, je serais curieux de savoir comment cette idée résonne pour vous?
Lorsque je fais des formations de CNV je repars plein d’énergie! Prêt à changer mon monde intérieur! Et je vois qu’il y a quelque chose en moi qui se sent aussi un peu comme lâché dans le bain de la vie, sans repère.
Je vois là toute l’utilité de participer à un groupe de pratique. Ils permettent de s’entraîner, de se relier aux expériences de personnes qui tentent au quotidien d’incarner le processus de la CNV dans leur famille, dans leur métier, dans leur voisinage ou dans leur entourage proche. C’est pour moi une grande source de soutien et de partage.
La girafe est un animal grégaire, une girafe isolée ne survit jamais longtemps.
Cette phrase sous tend l’idée selon laquelle, si l’on ne s’entoure pas de personnes qui essayent comme nous de mettre de la CNV dans leur vie, peu à peu, l’élan et l’énergie s’étiolent et on finit par perdre la motivation.
Il peut donc s’agir aussi d’une façon d’ancrer sa démarche et de nourrir ce besoin d’appartenance à une communauté de girafes.
J’ai connaissance de plusieurs groupes existants et lorsqu’on me demande s’il est possible de participer dans les environs d’Antibes par exemple, je ne suis pas sûr de moi, est ce que le groupe de Vallauris est complet? Est-ce-que le groupe d’Antibes est encore actif? Si oui, quelle est la fréquence de ses rendez-vous? Quelle est la régularité des ateliers à Mouans-Sartoux?
J’ai l’impression que de nombreux groupes de pratique de CNV se développent dans le 06 notamment. Je propose ici de les répertorier en précisant s’il s’agit d’un groupe auto-géré*:
Auto-géré?
lieu : adresse
fréquence : ex: tous les mardis, tous les premiers vendredis du mois
horaires : ex : de 10h à 12h
organisation : comment on réserve sa place …
fonctionnement :comment c’est animé, qu’est ce qu’on y fait
Prérequis : faut-il avoir le module 1, modules 1 et 2, modules 1, 2 et 3? Aucun module?
ouvert / fermé : est-il possible d’y participer ou bien êtes vous au complet.
Détails à préciser : repas partagé? frais de réservation de salle partagés?
Si vous avez une difficulté, n’hésitez pas à me joindre!!